Des sites archéologiques datant du Paléolithique supérieur attestent d’une présence dès la préhistoire dans les lieux-dits les Bruyères, la Cave et Audeguil. Au XIIᵉ siècle, la commune s’appelait Saint-Justin en raison d’un prieuré situé sur la rive gauche de la Vézère, qui allait devenir Le Roc.

D’autres découvertes témoignent d’une présence pendant la période médiévale : un sarcophage et un souterrain, un prieuré et une chapelle sur les hauteurs.

La commune prit ensuite son nom actuel durant la Révolution française.

Le 1ᵉʳ avril 1944, trois hommes sont fusillés sur la commune et deux femmes, une mère et sa fille, sont arrêtées et transférées à Périgueux, avant d’être envoyées au camp de Drancy trois jours plus tard. Des deux femmes déportées en camp de concentration, la mère meurt le 24 mai suivant à Auschwitz-Birkenau et sa fille, après sa libération, rejoint Paris le 1ᵉʳ juin 1945.

Aujourd’hui, Saint-Justin et sa municipalité font tout pour conjuguer cette histoire avec la modernité des équipements et du cadre de vie. 

Une attention toute particulière est donnée à l’environnement. La Ville n’utilise plus de pesticide depuis 2008 et procède à des tontes raisonnées sur tous les terrains communaux.